Cet accord acte des régressions inacceptables
- Régression de la solidarité au profit des plus haut revenus
- Fin de la solidarité entre bien-portants et malades
- Abandon de la solidarité intergénérationnelle envers les retraités
- Cotiser plus pour une couverture amoindrie
Pour toutes ces raisons, partagées entre autres par les 22.000 signataires actuels de la pétition intersyndicale SNU-CGT-FO-STC, le SNU refuse de signer cet accord.
Cet accord régressif en terme de droits participe aussi à la déconstruction organisée depuis quelques décennies des conquêtes sociales du Conseil National de la Résistance, base fondamentale de notre système de protection sociale.