Une menace majeure pour nos droits et nos libertés

Dans les communes où le FN est en responsabilité, ce parti, qui prétend parler « au nom du peuple » et des « petits », s’attaque au milieu associatif et culturel, fragilise le Service Public et n’hésite pas à exercer des pressions sur les agents municipaux…

Bien que le danger ne soit pas au même degré et de même nature, le programme du second candidat, seul candidat républicain, est lui aussi porteur de graves reculs sociaux. Lutter contre les idées d’extrême-droite implique de lutter contre les inégalités et les injustices, les politiques libérales en œuvre qui font le lit de l’extrême-droite depuis des années. Il s’agit de les combattre et de faire avancer nos revendications.

Mais ne confondons pas la violence économique et l’injustice sociale sous une démocratie, fût-elle imparfaite, et sous un pouvoir autoritaire !  Dans le premier cas, on peut encore lutter, organiser des mobilisations, construire un rapport de force, voire faire reculer le pouvoir.  Dans le second, c’est ce droit de contester et de résister qui sera remis en cause, avec tous les moyens de coercition de l’État et de sa police.

A l’issue de cette séquence électorale qui s’achèvera en juin par les élections législatives, les mobilisations seront rapidement indispensables pour défendre nos droits et en conquérir de nouveaux. Mais d’abord, barrons la route au Front National. 

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